Et si nous parlions « planification »
mardi 20 mars 2007
Les visiteurs de cet espace, ont compris que notre réflexion ne s’arrête pas à la MERE des REFORMES.
L’une des premières et très ardente obligation consiste en une réforme de l’Etat, pour le redéployer sur des missions régaliennes légitimes et donc incontestables.
Cela va ouvrir la voie à des économies d’échelles, mais surtout permettre au citoyen une meilleure lisibilité de l’action publique.
Il faut donc fixer cet objectif collectif à atteindre, par le biais d’un vrai « projet d’entreprise », celui de l’entreprise France.
Chacun connaît la mécanique et le dispositif d’un projet d’entreprise. Un constat, un ou des objectifs, une chronologie de mise en œuvre, et les moyens humains, matériels et financiers a mobilisé.
Dans ce schéma l’état est chef de projet, pour le compte du donneur d’ordre le citoyen. Ce chef de projet gagnerait à se doter d’un bras exécutif puissant : Un grand Ministère du PLAN.
Ce plan qui fixera des axes stratégiques, pour des filières industrielles, agricoles ou sociétales, dans des segments que nous aurons pointés comme porteurs d’avenir, car nous y disposons d’atouts.
C’est le cas de l’agraire, mais également du spatial, du nucléaire, des NTIC (Nouvelles technologies d’information et de communication), de la pharmacologie ou simplement de la R&D fondamentale ou appliquée.
Sur ces bases, nous constituons, animés par le Plan des pools d’intervenants (industriels, facultés, Associations) et chaque chantier se voit désigner un chef de file, qui devrait être un industriel.
Compte tenu de l’émergence du Net et des BLOGS et de cette frénésie participative, ce ministère du PLAN, gagnerait à appliquer la technique du knowledge-management , en ouvrant une boîte a idée nationale.
Ce réceptacle, géré par un tiers de confiance, garantirait la paternité des idées, permettrait de les enrichir, de les chiffrer et de les tester, en agrégeant différentes expertises.
Richard HASSELMANN
Remerciements
WIKIPEDIA
L’une des premières et très ardente obligation consiste en une réforme de l’Etat, pour le redéployer sur des missions régaliennes légitimes et donc incontestables.
Cela va ouvrir la voie à des économies d’échelles, mais surtout permettre au citoyen une meilleure lisibilité de l’action publique.
Il faut donc fixer cet objectif collectif à atteindre, par le biais d’un vrai « projet d’entreprise », celui de l’entreprise France.
Chacun connaît la mécanique et le dispositif d’un projet d’entreprise. Un constat, un ou des objectifs, une chronologie de mise en œuvre, et les moyens humains, matériels et financiers a mobilisé.
Dans ce schéma l’état est chef de projet, pour le compte du donneur d’ordre le citoyen. Ce chef de projet gagnerait à se doter d’un bras exécutif puissant : Un grand Ministère du PLAN.
Ce plan qui fixera des axes stratégiques, pour des filières industrielles, agricoles ou sociétales, dans des segments que nous aurons pointés comme porteurs d’avenir, car nous y disposons d’atouts.
C’est le cas de l’agraire, mais également du spatial, du nucléaire, des NTIC (Nouvelles technologies d’information et de communication), de la pharmacologie ou simplement de la R&D fondamentale ou appliquée.
Sur ces bases, nous constituons, animés par le Plan des pools d’intervenants (industriels, facultés, Associations) et chaque chantier se voit désigner un chef de file, qui devrait être un industriel.
Compte tenu de l’émergence du Net et des BLOGS et de cette frénésie participative, ce ministère du PLAN, gagnerait à appliquer la technique du knowledge-management , en ouvrant une boîte a idée nationale.
Ce réceptacle, géré par un tiers de confiance, garantirait la paternité des idées, permettrait de les enrichir, de les chiffrer et de les tester, en agrégeant différentes expertises.
Richard HASSELMANN
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Libellés : avenir, économie, élections, entreprises, état
1 Comments:
commented by Anonyme, 20 mars 2007 à 20:18
L'idée d'un "plan" mérite donc une attention particulière.