PRECISIONS
jeudi 8 mars 2007
Au moment où les positions des 3 principaux candidats évoluent de manière spectaculaire dans l’esprit de l’électeur, permettez-moi, a titre personnel, d’utiliser cet espace pour préciser certains points.
Ceux qui me connaissent savent que j’ai pour habitude de prendre mes responsabilités et de signer mes messages ici ou là, quand un grand nombre se cache sous des pseudos.
C’est ce souci constant de « transparence » qui me conduit à écrire ce qui suit en forme de réponse collective, pour ceux et celles, qui me joignent ou que j’ai croisé en de nombreuses occasions depuis quelques temps.
En 2002, avec d’autres nous nous sommes engagés dans un mouvement (ENERGIES DEMOCRATES) pour réfléchir et bâtir un projet à proposer aux français en 2007.
Pour la quasi-totalité du groupe, nous étions vierges de toutes obédiences politiques, mais riches de formidables expériences, dans la vraie vie.
Nous ne venions rien chercher, ni une ligne sur une carte de visite, ni un ascenseur social ou une quelconque reconnaissance, mais un lieu de construction, pour être en capacité de peser sur le débat en 2007.
Nous y sommes, et nous sommes au rendez-vous fixé.
Notre pays a besoin de regarder la vérité en face. Il faut se donner les moyens de relancer la croissance en alimentant puissamment notre capacité de recherche et d’innovation, mais pas a n’importe quel prix !
En effet compte tenu du poids et de la structure de la dette du pays, notre première obligation est de faire des économies d’échelles. Le rapport PEBEREAU, « Le PAPY KRACH » de Bernard SPITZ ou le travail sur la fiscalité de C St ETIENNE, ne peuvent pas rester lettre morte. Le denier public est rare et cher, il doit être optimisé et redéployé là où il est indispensable au plus grand nombre.
Vous comprendrez pourquoi, sur ce constat, nous avons inscrit LA REFORME DE L’ETAT, au premier rang des leviers à actionner. Réformer l’état, dans sa présence territoriale, dans ses circuits, dans les missions qu’il continue à vouloir mener, financer et régenter, dans un réflexe jacobin suranné.
Evidence, me direz vous, mais comment y parvenir ?
En changeant de logiciel, pour reprendre l’excellente formule de C.BARBIER (L’ EXPRESS)
C’est le sens de ce que nous avons appelé, dés l’origine (mais nous n’avons pas de vanité d’auteurs), LA MERE DE TOUTES LES REFORMES, ce verrou qu’il faut tirer, pour débloquer le système et les mentalités : La fin du cumul des mandats
Nous envisagions ainsi de permettre l’émergence de talents nouveaux, disponibles et concernés, pour une vraie mission d’intérêt général à mener sur 5 ans.
Ce socle de réflexion est étayé, par les piliers forts que sont nos propositions pour des Régions fortes, en charge de la proximité, et une Europe revisitée et relancée sur le couple FRANCO-ALLEMAND, pour peser à l’échelle du monde, avec une taille critique pertinente.
Un socle, des piliers, et bien sûr un toit.
Ce toit, en forme de loi fondamentale, c’est la conscience de la Terre et de l’homme, posée en valeur absolue, pour donner du corps au concept de développement durable : Ne rien faire aujourd’hui, qui serait de nature à obérer l’avenir des générations futures.
Derrière cette sorte de « STORY BOARD », il y a des réflexions abouties dans tous les domaines, nous nous attacherons à les évoquer sur ce site.
Ainsi, faites-nous l’amitié de penser que nous n’avons pas changé, notre « feuille de route » est tracée et si nos formules se retrouvent chez certains, c’est que nous sommes peut être au cœur du sujet. Cette persistance rétinienne et auditive qui m’est chère, trouve sa place chez ceux et celles qui depuis quelques temps par le biais des réunions, des actions ou de nos contributions écrites ont croisé les modestes « VULGARISATEURS » que nous sommes.
Nous sommes peut être tout simplement crédibles et « la mayonnaise prend » car nous n’avons jamais rien brigué.
Nous-nous sommes adressés et nous adressons à des citoyens en capacité de nous entendre.
Notre message est simple, ce n’est pas un catalogue, pour émission de télévision ou il y a autant de questions égoïstes et corporatistes que d’invités. Nous avons un projet à s’approprier collectivement.
Ces citoyens, individus ou groupe socioprofessionnel, prennent peu à peu le relais et font que le curseur bouge.
Comme je l’ai souvent dit, il n’est point besoin de faire signer des appels, de cannibaliser les médias, de gesticuler ou de faire des déclarations péremptoires, il suffit d’être simplement crédible.
Le français et singulièrement les jeunes, nourris aux NTIC repèrent vite ce qu’est une vraie conviction, nourrie par une réflexion et des valeurs éthiques et morales.
Ce sont ces mêmes valeurs qui me conduisent à être très exigeant sur la crédibilité des promesses qui fleurissent par les temps qui courent.
Les chiffres sont têtus, pour celui qui sait les lire et les croiser, il y a le possible, et ce qui relève du rêve ou de l’escroquerie intellectuelle et électorale.
Richard HASSELMANN
Ceux qui me connaissent savent que j’ai pour habitude de prendre mes responsabilités et de signer mes messages ici ou là, quand un grand nombre se cache sous des pseudos.
C’est ce souci constant de « transparence » qui me conduit à écrire ce qui suit en forme de réponse collective, pour ceux et celles, qui me joignent ou que j’ai croisé en de nombreuses occasions depuis quelques temps.
En 2002, avec d’autres nous nous sommes engagés dans un mouvement (ENERGIES DEMOCRATES) pour réfléchir et bâtir un projet à proposer aux français en 2007.
Pour la quasi-totalité du groupe, nous étions vierges de toutes obédiences politiques, mais riches de formidables expériences, dans la vraie vie.
Nous ne venions rien chercher, ni une ligne sur une carte de visite, ni un ascenseur social ou une quelconque reconnaissance, mais un lieu de construction, pour être en capacité de peser sur le débat en 2007.
Nous y sommes, et nous sommes au rendez-vous fixé.
Notre pays a besoin de regarder la vérité en face. Il faut se donner les moyens de relancer la croissance en alimentant puissamment notre capacité de recherche et d’innovation, mais pas a n’importe quel prix !
En effet compte tenu du poids et de la structure de la dette du pays, notre première obligation est de faire des économies d’échelles. Le rapport PEBEREAU, « Le PAPY KRACH » de Bernard SPITZ ou le travail sur la fiscalité de C St ETIENNE, ne peuvent pas rester lettre morte. Le denier public est rare et cher, il doit être optimisé et redéployé là où il est indispensable au plus grand nombre.
Vous comprendrez pourquoi, sur ce constat, nous avons inscrit LA REFORME DE L’ETAT, au premier rang des leviers à actionner. Réformer l’état, dans sa présence territoriale, dans ses circuits, dans les missions qu’il continue à vouloir mener, financer et régenter, dans un réflexe jacobin suranné.
Evidence, me direz vous, mais comment y parvenir ?
En changeant de logiciel, pour reprendre l’excellente formule de C.BARBIER (L’ EXPRESS)
C’est le sens de ce que nous avons appelé, dés l’origine (mais nous n’avons pas de vanité d’auteurs), LA MERE DE TOUTES LES REFORMES, ce verrou qu’il faut tirer, pour débloquer le système et les mentalités : La fin du cumul des mandats
Nous envisagions ainsi de permettre l’émergence de talents nouveaux, disponibles et concernés, pour une vraie mission d’intérêt général à mener sur 5 ans.
Ce socle de réflexion est étayé, par les piliers forts que sont nos propositions pour des Régions fortes, en charge de la proximité, et une Europe revisitée et relancée sur le couple FRANCO-ALLEMAND, pour peser à l’échelle du monde, avec une taille critique pertinente.
Un socle, des piliers, et bien sûr un toit.
Ce toit, en forme de loi fondamentale, c’est la conscience de la Terre et de l’homme, posée en valeur absolue, pour donner du corps au concept de développement durable : Ne rien faire aujourd’hui, qui serait de nature à obérer l’avenir des générations futures.
Derrière cette sorte de « STORY BOARD », il y a des réflexions abouties dans tous les domaines, nous nous attacherons à les évoquer sur ce site.
Ainsi, faites-nous l’amitié de penser que nous n’avons pas changé, notre « feuille de route » est tracée et si nos formules se retrouvent chez certains, c’est que nous sommes peut être au cœur du sujet. Cette persistance rétinienne et auditive qui m’est chère, trouve sa place chez ceux et celles qui depuis quelques temps par le biais des réunions, des actions ou de nos contributions écrites ont croisé les modestes « VULGARISATEURS » que nous sommes.
Nous sommes peut être tout simplement crédibles et « la mayonnaise prend » car nous n’avons jamais rien brigué.
Nous-nous sommes adressés et nous adressons à des citoyens en capacité de nous entendre.
Notre message est simple, ce n’est pas un catalogue, pour émission de télévision ou il y a autant de questions égoïstes et corporatistes que d’invités. Nous avons un projet à s’approprier collectivement.
Ces citoyens, individus ou groupe socioprofessionnel, prennent peu à peu le relais et font que le curseur bouge.
Comme je l’ai souvent dit, il n’est point besoin de faire signer des appels, de cannibaliser les médias, de gesticuler ou de faire des déclarations péremptoires, il suffit d’être simplement crédible.
Le français et singulièrement les jeunes, nourris aux NTIC repèrent vite ce qu’est une vraie conviction, nourrie par une réflexion et des valeurs éthiques et morales.
Ce sont ces mêmes valeurs qui me conduisent à être très exigeant sur la crédibilité des promesses qui fleurissent par les temps qui courent.
Les chiffres sont têtus, pour celui qui sait les lire et les croiser, il y a le possible, et ce qui relève du rêve ou de l’escroquerie intellectuelle et électorale.
Richard HASSELMANN
6 Comments:
commented by Anonyme, 9 mars 2007 à 13:22
A ANONYME du GARD.
Merci pour votre "post" j'espére que beaucoup comme vous, vont comprendre ou se situent les enjeux.
Si vous êtes vraiment dans le GARD, vous savez combien ce département m'est cher, et vous m'y avez peut être entendu, pour comprendre qu'il y a une position qui ne varie pas.
Merci dans tous les cas.
R HASSELMANN
Merci pour votre "post" j'espére que beaucoup comme vous, vont comprendre ou se situent les enjeux.
Si vous êtes vraiment dans le GARD, vous savez combien ce département m'est cher, et vous m'y avez peut être entendu, pour comprendre qu'il y a une position qui ne varie pas.
Merci dans tous les cas.
R HASSELMANN
commented by 9 mars 2007 à 19:36
,
" Le français et singulièrement les jeunes, nourris aux NTIC repèrent vite ce qu’est une vraie conviction, nourrie par une réflexion et des valeurs éthiques et morales."
Mr Hasselmann,
Jeune et français, je me permets une question : que veut dire NTIC ?
Généralement, je ne mange que ce que je peux identifier...
Ce petit clin d'oeil me permet de vous faire part d'une réflexion un peu plus poussée.
Ne pensez-vous pas que s'il faut alléger, remanier, modifier, épurer (etc) le paysage politique français, il serait aussi bon d'en simplifier le vocabulaire ?
Tous les électeurs n'ont pas Bac+4 et il serait bon que la majorité comprenne.
A ce jour, dans la rue, dans les administrations, on murmure plusieurs choses :
1/ que 45 % des votants n'ont encore aucune idée de vote
2/ que " c'est toujours la même chose... tous des menteurs et des voleurs..."
3/ "on s'en fout, de toute façon rien ne changera"
Alors vous pouvez tous vous gargarisez avec vos bons mots et, je n'en doute pas vos bonnes intentions, mais finalement n'y aurait-il pas plus de bon sens à ce que la politique ne soit que l'affaire de quelques uns...
On vous taxe dans l'un des commentaires de "royaliste"...
J'ai pour ma part 35 ans, je vis dans le sud moi aussi et je suis chômeur. Je me bats tous les jours contre nos institutions qui n'ont comme 1er prix que celui de l'inefficacité et de la bêtise. La France est un pays d'idiots, à tous les coins de rue il y en a 100 pour paraphraser l'ex chanteur Renaud. La France est un pays de lobby, de fonctionnaires planqués et syndiqués, nous sommes la risée de l'Europe, le QI moyen du français plafonne à 90...
J'arrête ici ce que l'on va qualifier de diatribe incohérente, pour en revenir à l'idée de départ.
Ce n'est pas que les politiques qu'il faut changer, c'est TOUTE LA POLITIQUE. Et en 1er lieu, ce sont les électeurs qu'il faut changer.
Une société commerciale pense en terme de clientèle...
Mon idée, et je ne suis pas le seul à le dire, c'est de changer le système électoral. Que les habitants d'une ville, d'un village vote pour des "gens de quartier" qu'ils connaissent, qu'ils peuvent toucher, croiser dans la rue.
Faites que diriger un pays soit un métier allié à une vocation. Redonnez un sens à l'engagement politique.
Formez et contrôlez des hommes et femmes d'État.
Tel est le prix pour que la France survive et retrouve la place qu'elle mérite
Mr Hasselmann,
Jeune et français, je me permets une question : que veut dire NTIC ?
Généralement, je ne mange que ce que je peux identifier...
Ce petit clin d'oeil me permet de vous faire part d'une réflexion un peu plus poussée.
Ne pensez-vous pas que s'il faut alléger, remanier, modifier, épurer (etc) le paysage politique français, il serait aussi bon d'en simplifier le vocabulaire ?
Tous les électeurs n'ont pas Bac+4 et il serait bon que la majorité comprenne.
A ce jour, dans la rue, dans les administrations, on murmure plusieurs choses :
1/ que 45 % des votants n'ont encore aucune idée de vote
2/ que " c'est toujours la même chose... tous des menteurs et des voleurs..."
3/ "on s'en fout, de toute façon rien ne changera"
Alors vous pouvez tous vous gargarisez avec vos bons mots et, je n'en doute pas vos bonnes intentions, mais finalement n'y aurait-il pas plus de bon sens à ce que la politique ne soit que l'affaire de quelques uns...
On vous taxe dans l'un des commentaires de "royaliste"...
J'ai pour ma part 35 ans, je vis dans le sud moi aussi et je suis chômeur. Je me bats tous les jours contre nos institutions qui n'ont comme 1er prix que celui de l'inefficacité et de la bêtise. La France est un pays d'idiots, à tous les coins de rue il y en a 100 pour paraphraser l'ex chanteur Renaud. La France est un pays de lobby, de fonctionnaires planqués et syndiqués, nous sommes la risée de l'Europe, le QI moyen du français plafonne à 90...
J'arrête ici ce que l'on va qualifier de diatribe incohérente, pour en revenir à l'idée de départ.
Ce n'est pas que les politiques qu'il faut changer, c'est TOUTE LA POLITIQUE. Et en 1er lieu, ce sont les électeurs qu'il faut changer.
Une société commerciale pense en terme de clientèle...
Mon idée, et je ne suis pas le seul à le dire, c'est de changer le système électoral. Que les habitants d'une ville, d'un village vote pour des "gens de quartier" qu'ils connaissent, qu'ils peuvent toucher, croiser dans la rue.
Faites que diriger un pays soit un métier allié à une vocation. Redonnez un sens à l'engagement politique.
Formez et contrôlez des hommes et femmes d'État.
Tel est le prix pour que la France survive et retrouve la place qu'elle mérite
Le français et singulièrement les jeunes, nourris aux NTIC repèrent vite ce qu’est une vraie conviction, nourrie par une réflexion et des valeurs éthiques et morales.
Monsieur Hasselmann, je ne suis pas persuadé que tout le monde connaisse la définition de NTIC et cette remarque me permet d'apporter ce commentaire :
la politique, si vous voulez qu'elle soit suivie par la génération des 25-40 ans (à laquelle j'appartiens) ne devra-t'elle pas être encore plus vulgarisée pour attirer encore plus d'acteurs, de prise de conscience qu'un pays doit être dirigé par le peuple (sans discours gauchiste) ou alors par de vrais représentants du peuple ?
Parallèlement, 45% des français n'ont pas encore d'intention de vote. Pourquoi ?
Oserais-je avancer parce qu'ils s'en moquent ou, pire, parce qu'ils sont noyés par les différents "programmes". Il faut dire que cette année, nous avons été gâtés (à tous les sens du terme) par une course électorale qui tenait plus de la star academy qu'autre chose... et quand vous entendez que c'est encore les Guignols de Canal+ qui vont faire la différence
Certes, vous allez me dire, si je lis bien entre les lignes de vos idées, que l'enjeu est justement que les français s'investissent.
Je suis français moyen, je suis chômeur, j'ai 35ans et je m'intéresse mais parce que j'en ai le temps et que je suis à même de comprendre certaine chose de par mon cursus scolaire et professionnel, mais combien sont-ils les dégoutés de la Res Publica...
Vous parlez de réforme de l'Etat. Elle est certes nécessaire. Mais je ne vois ni n'entends personne parler de la réforme du système électoral. Puisque les français ont du mal, est-il nécessaire qu'ils votent tous ? Je ne crois pas.
Notez que je ne crie pas "Vive le Roy" aux vues de certains commentaires sur ce blog
Michel d'Alès (Gard que visiblement vous connaissez bien)
Monsieur Hasselmann, je ne suis pas persuadé que tout le monde connaisse la définition de NTIC et cette remarque me permet d'apporter ce commentaire :
la politique, si vous voulez qu'elle soit suivie par la génération des 25-40 ans (à laquelle j'appartiens) ne devra-t'elle pas être encore plus vulgarisée pour attirer encore plus d'acteurs, de prise de conscience qu'un pays doit être dirigé par le peuple (sans discours gauchiste) ou alors par de vrais représentants du peuple ?
Parallèlement, 45% des français n'ont pas encore d'intention de vote. Pourquoi ?
Oserais-je avancer parce qu'ils s'en moquent ou, pire, parce qu'ils sont noyés par les différents "programmes". Il faut dire que cette année, nous avons été gâtés (à tous les sens du terme) par une course électorale qui tenait plus de la star academy qu'autre chose... et quand vous entendez que c'est encore les Guignols de Canal+ qui vont faire la différence
Certes, vous allez me dire, si je lis bien entre les lignes de vos idées, que l'enjeu est justement que les français s'investissent.
Je suis français moyen, je suis chômeur, j'ai 35ans et je m'intéresse mais parce que j'en ai le temps et que je suis à même de comprendre certaine chose de par mon cursus scolaire et professionnel, mais combien sont-ils les dégoutés de la Res Publica...
Vous parlez de réforme de l'Etat. Elle est certes nécessaire. Mais je ne vois ni n'entends personne parler de la réforme du système électoral. Puisque les français ont du mal, est-il nécessaire qu'ils votent tous ? Je ne crois pas.
Notez que je ne crie pas "Vive le Roy" aux vues de certains commentaires sur ce blog
Michel d'Alès (Gard que visiblement vous connaissez bien)
commented by 11 mars 2007 à 14:01
,
Pour avoir suivi dès l'origine la reflexion d'Energie Démocrate, je crois pouvoir dire qu'effectivement, vous n'avez pas changé de position. Il se trouve que cette position est aujourd'hui la mieux fondée. Il semble qu'après François Bayrou, ce soit Corinne Lepage qui s'y ralie.
Il reste à espérer pour tous les jeunes qui vous font confiance que vous obtiendrez avant le scrutin un engagement fort que ce qui est annoncez sera tenu et mis en oeuvre dans les 5 ans qui viennent.
Nous pourrions en particulier particulier parler de l'attente que nous avons d'un candidat "intelligent", moderne, libre et courageux car ce sont ces qualités qu'il faudra pour appliquer ce que vous préconisez.
Il reste à espérer pour tous les jeunes qui vous font confiance que vous obtiendrez avant le scrutin un engagement fort que ce qui est annoncez sera tenu et mis en oeuvre dans les 5 ans qui viennent.
Nous pourrions en particulier particulier parler de l'attente que nous avons d'un candidat "intelligent", moderne, libre et courageux car ce sont ces qualités qu'il faudra pour appliquer ce que vous préconisez.
commented by 11 mars 2007 à 16:58
,
A JOYEUX et MICHEL d’ALÈS
En premier lieu, pardon, messeigneurs, et reçu 5 sur 5
NTIC = Nouvelles technologies de l’information et de la COMMUNICATION, au rang des quelles INTERNET et les blocs.
Voilà pour la forme.
Sur le fonds, vos observations sont également proches et pour le moins radicales dans les remèdes ;
Il reste qu’il y a du vrai dans ce que vous pointez du doigt.
Le collectif PROVIDENTIELLE 2007, pense qu’il est temps de régénérer la classe politique pour redonner envie et confiance.
C’est le sens premier de notre action, et cela ne sera possible qu’avec des élus nouveaux ou concentrés sur un seul mandat.
Car à la suite la tâche est lourde, pour relancer la croissance, en réformant l’état, il va falloir être disponible, armé de convictions, et penser à faire, sans doute sans espoir de durer
En premier lieu, pardon, messeigneurs, et reçu 5 sur 5
NTIC = Nouvelles technologies de l’information et de la COMMUNICATION, au rang des quelles INTERNET et les blocs.
Voilà pour la forme.
Sur le fonds, vos observations sont également proches et pour le moins radicales dans les remèdes ;
Il reste qu’il y a du vrai dans ce que vous pointez du doigt.
Le collectif PROVIDENTIELLE 2007, pense qu’il est temps de régénérer la classe politique pour redonner envie et confiance.
C’est le sens premier de notre action, et cela ne sera possible qu’avec des élus nouveaux ou concentrés sur un seul mandat.
Car à la suite la tâche est lourde, pour relancer la croissance, en réformant l’état, il va falloir être disponible, armé de convictions, et penser à faire, sans doute sans espoir de durer
commented by 13 mars 2007 à 19:27
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Je découvre votre blog depuis peu et je dois vous dire que je suis très satisfait, à titre personnel, de lire et "d'entendre" ce que vous écrivez.
Je suis un de ces jeunes (j'ai 34 ans) qui, comme beaucoup d'autres, réservent sa voix.
Comme vous le signalez, je crois qu'il y a beaucoup d'électeurs dans la frange 25-40 ans qui ne se reconnaît pas dans les sempiternelles clivages historiques droite/gauche avec lesquels nous avons toujours vécus !
Ce paysage fossilisé nous a conduit jusqu'ici à l'abstention, le vote contestataire voire de moindre répugnance, je ne parle pas de ceux qui n'ont jamais mis les pieds dans un bureau de vote pour ces mêmes raisons.
Nous avions aimé Energie Démocrate qui posait d'abord la réforme du cumul des mandats pour une nouvelle donne politique. Nous avions moins aimé l'alliance de ce début d'année.
EXIT ENERGIE DEMOCRATE mais le fond demeure.
Merci donc de continuer dans cet esprit car je crois que beaucoup de jeunes (et moins jeunes !) veulent et vont aider lors de la présidentielle car il y a une vie pour nous après !
Un jeune électeur du gard.