O comme Oecuménisme
vendredi 29 février 2008

Nous étions il y a quelques jours invités a un colloque au titre prometteur "Allons chercher la croissance" Etaient ainsi réunis, au cœur du ministère des Finances, dans le majestueux amphithéâtre MENDES FRANCE , à l’initiative de L’IFRAP (institut français de recherches sur les administrations publiques) et de la Fondation CONCORDE , un nombre significatif d’acteurs économiques, et en particulier des représentants des PME/PMI et des porteurs du concept en vogue depuis quelques temps les "BUSINESS ANGELS" ... / ...
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U comme Urgence ... constitutionnelle
mercredi 27 février 2008

Pour ma part, privilège de l'age, mes professeurs étaient ceux qui ont bâti la constitution de 1958 , qui venait de naître et fête en 2008 son cinquantenaire.
Anniversaire chahuté, c'est le moins que l'on puisse dire. Après les champions de la VIme République , nous avons désormais mieux, en la personne d'un Président, gardien de la constitution, qui trouve le Conseil Constitutionnel ..... gênant!
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Libellés : france, institutions, politique
La confiance : valeur-clé du contrat social
mardi 26 février 2008

Un certain nombre d'observateurs parlent régulièrement d'une « crise de confiance » au sein de notre société: manque de confiance dans l'avenir, dans l'Europe, dans la mondialisation, mais aussi manque de confiance dans l'autre, dans le couple, dans ce que l'on fait.
Une crise de confiance n'est pas un phénomène naturel : elle apparaît suite à des tromperies, un sentiment de mensonge, d'hypocrisie ou encore d'insécurité. Elle se caractérise par la domination du doute et de la suspicion. Des questions sans réponses en appellent d'autres.
L'affaire « Société Générale » est à cet égard emblématique. Voici, par exemple, quelques questions qu'elle génère, contribuant à une véritable crise de confiance : comment la perte de 2,6 milliards d'euros liée aux « subprimes » qui vient d'être annoncée peut-elle être 10 fois plus élevée que celle annoncée 6 mois plus tôt ?
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Libellés : croissance, france, politique, société
A comme Audiovisuel Pédagogue
lundi 18 février 2008

Pour avoir, dans une autre vie, eu en charge des raisons sociales dans ce secteur, j’a pu constater combien les programmes et étaient inféodés aux diktat publicitaires.
On parlait, et on parle sans doute encore, de formats à 52 ou 90 minutes, de « story board » découpés en fonction de…. et autres contraintes, avec les quelles « CINQ COLONNES A LA UNE » ou « LES PERSES », en leur temps, n’auraient eu aucune chance.
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Libellés : audiovisuel, france, media, politique
C comme CQFD

En Aout dernier, reprenant nos précédentes analyses et lectures des indicateurs, dans un article que vous retrouverez sur Providentielle nous expliquions pourquoi la croissance serait inférieure à 2% et le déficit proche de 2,9% ("Bonne rentrée" - billet du 27/08/07)
Les chiffres viennent de tomber nous devrions faire 1,9% là ou l’Europe fait 2,7%, l’Espagne 3,8% et l’Allemagne 2,6%. Accablant comme l’est le discours officiel et les contorsions du ministre des Finances.
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U comme URGENCE
mardi 22 janvier 2008

URGENCE a ne pas confondre avec précipitation, mais qu’il faut savoir pointer. Cela permet de hiérarchiser les priorités et quelquefois bousculer l’ordre établi.
L’URGENCE aujourd’hui, elle n’est pas dans le déménagement de l’Elysée, elle n’est pas non plus, dans un fatras de réformes qui encombrent les services ministériels, les médias et en définitive l’esprit du brave quidam.
Si nous avons choisi cette valeur en référence au 21 janvier, vous pensez bien que ce n’est pas neutre. L’URGENCE aujourd’hui est de savoir si les préconisations du rapport ATTALI, et notamment certaines d’entre elles ont des chances d’être appliquées ou pas !
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C comme courage
lundi 21 janvier 2008

Sur le plan économique, nous savons tous pertinemment que le système actuel est à la fois profondément inéquitable et susceptible d’entraîner une des plus graves crises financières de notre histoire moderne.
Le problème majeur du capitalisme tel que nous le connaissons réside dans sa financiarisation extrême. Devenir actionnaire n’a plus d’autre sens que celui de s’enrichir le plus possible. Les 20% de rentabilité exigés aujourd’hui par la plupart des actionnaires et des fonds d’investissement représentent une aberration. Les grandes entreprises s’endettent aujourd’hui, non plus pour investir ou se développer mais pour payer les dividendes de leurs actionnaires. Pendant ce temps, le pouvoir d’achat des salariés stagne ... / ...
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