L'OCDE table, pour 2007, sur 1,8% de croissance en France
jeudi 6 septembre 2007
Bercy en revanche maintient sa prévision !!!La prévision de croissance 2007 de la France a été nettement révisée à la baisse par l'OCDE mercredi 5 septembre, à 1,8%, contre 2,2% escomptés auparavant. Soit 0,4 point de moins par rapport aux estimations publiées en mai, a indiqué l'économiste en chef de l'Organisation, Jean-Philippe Cotis .../ ...
Pour la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, il n'y a pas lieu de réviser les prévisions à la baisse: "un certain nombre de clignotants de confiance sont allumés au vert, il n'y a pas de raison de redescendre au rouge sur un résultat moyen au deuxième trimestre" .../ ...
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OCDE
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Libellés : budget, croissance, déficit, france
2 Comments:
Vous avez une boule de cristal ! c'est la 1ère fois que j'interviens sur ce blog. J'ai lu le billet que Mr HASSELMANN a diffusé en août Il n'avait pas attendu l'OCDE pour annoncer 1.8% !
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Anonyme, 6 septembre 2007 à 12:03
Anonyme, 6 septembre 2007 à 12:03
@psychoR
Rassurez vous pas de boule de cristal, mais une simple lecture objective des indicateurs, des tendances, et une prévision des effets induits des mesures annonçées, et mises, pour partie en oeuvre.
Quand on choisi de relancer la croissance, en boostant la demande; il faut être sur que l'offre nationale soit en capacité de répondre.A défaut, il y a des "pertes de rivière", et on obtient l'effet inverse a celui recherché.
De surcroît, il suffit de replacer tout cela dans le contexte économique mondial global, pour envisager, que la méthode "COUE" risque de ne pas suffire;
Rassurez vous pas de boule de cristal, mais une simple lecture objective des indicateurs, des tendances, et une prévision des effets induits des mesures annonçées, et mises, pour partie en oeuvre.
Quand on choisi de relancer la croissance, en boostant la demande; il faut être sur que l'offre nationale soit en capacité de répondre.A défaut, il y a des "pertes de rivière", et on obtient l'effet inverse a celui recherché.
De surcroît, il suffit de replacer tout cela dans le contexte économique mondial global, pour envisager, que la méthode "COUE" risque de ne pas suffire;
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