Vous AVEZ DIT PROVIDENTIEL ?
mercredi 28 février 2007
Les 22 avril et 6 mai prochain constituent, à n'en pas douter l'un des rendez-vous électoraux, parmi les plus importants proposés aux français depuis bien longtemps.
Dès le lendemain du 21 avril 2002, avec d'autres nous avons décidé de « presser le pas », persuadés que nous étions que ce pays ne pouvait plus continuer à « se croire seul au monde » pour avoir raison contre la raison.
Nous-nous sommes attachés à forger une réflexion et un projet, en dehors de toute ambition électoraliste, avec un maître mot : LA VERITE quoi qu'il en coûte.
C'est le sens des réunions organisées ici ou là où des actions de sensibilisations initiées. C'est aussi la destinée de ce blog, en souhaitant que le lecteur-visiteur, se pose les vraies questions, et s'approprie sa réponse de la manière la plus objective possible.
Nous avons l'intime conviction que pour parvenir à un développement économique et social harmonieux, notre pays doit réformer son ETAT et pour réformer son état, se donner une nouvelle classe politique.
Reprenons dans l'ordre :
Nous avons besoin de nouveaux élus, concernés et disponibles qui briguent un mandat par conviction, pour FAIRE et non pas pour DURER. le « pas de deux » droite/gauche que nous subissons est le signe d'une démocratie DEFIGUREE, dés lors il n'est pas étonnant que le citoyen ne la reconnaisse plus et se réfugie dans l'abstention ou le vote protestataire vers les extrêmes.
Le remède, chez nous comme partout ailleurs, c'est la fin du cumul des mandats et l'élaboration d'un statut de l'élu équitable.
Nous avons besoin de réformer notre Etat. Budgétivore et immobile, confisqué par les corporatismes, les castes les corps ou les clans, il veut se « mêler de tout sans jamais rien démêler »
Réformons l'Etat pour le recentrer sur de grandes missions régaliennes incontestables et redéployons les fonctionnaires là où ils sont vraiment utiles au plus grand nombre.
Ce faisant nous retrouverons des espaces de liberté et d'initiative pour des collectivités territoriales ou locales pertinentes et légitimes (Régions et communautés d'agglomération ou de communes) et également donnons un signe fort aux hommes et aux femmes qui animent les belles réussites de l'économie sociale et solidaire, avec des fondements ou le solidaire et l'éthique, le disputent avec brio au soucis de la performance et de l'innovation.
Nous avons besoin effectivement d'un développement économique, mais il ne peut se faire sans donne sociale. A défaut nous resterons accrochés à nos petits égoïsmes.
Dans le même temps, nous appelons les Français à regarder la réalité en face : Les droits acquis sous leur forme actuelle ne peuvent perdurer. Notre économie nécessite des ajustements rapides sous peine de transférer à nos petits enfants une charge insupportable et un mode de vie dégradé.
La solidarité intergénérationnelle nous porte donc à donner ou abandonner ici, pour permettre demain au plus grand nombre de recevoir le plus équitablement possible là.
Voilà brièvement l'axe tracé et l'ambition de cet espace. Cela n'est certainement pas électoralement très porteur, mais c'est ce luxe que les citoyens doivent s'offrir.
Nous ne revendiquons rien, sauf le devoir d'apporter modestement notre pierre, car rien n'est joué, et nous comptons bien, dans les semaines qui viennent contraindre les postulants à la magistrature suprême à exprimer la vérité.
Convenez que c'est le moins que l'on puisse attendre si l'on souhaite présider un pays comme le nôtre!
Richard HASSELMANN
Dès le lendemain du 21 avril 2002, avec d'autres nous avons décidé de « presser le pas », persuadés que nous étions que ce pays ne pouvait plus continuer à « se croire seul au monde » pour avoir raison contre la raison.
Nous-nous sommes attachés à forger une réflexion et un projet, en dehors de toute ambition électoraliste, avec un maître mot : LA VERITE quoi qu'il en coûte.
C'est le sens des réunions organisées ici ou là où des actions de sensibilisations initiées. C'est aussi la destinée de ce blog, en souhaitant que le lecteur-visiteur, se pose les vraies questions, et s'approprie sa réponse de la manière la plus objective possible.
Nous avons l'intime conviction que pour parvenir à un développement économique et social harmonieux, notre pays doit réformer son ETAT et pour réformer son état, se donner une nouvelle classe politique.
Reprenons dans l'ordre :
Nous avons besoin de nouveaux élus, concernés et disponibles qui briguent un mandat par conviction, pour FAIRE et non pas pour DURER. le « pas de deux » droite/gauche que nous subissons est le signe d'une démocratie DEFIGUREE, dés lors il n'est pas étonnant que le citoyen ne la reconnaisse plus et se réfugie dans l'abstention ou le vote protestataire vers les extrêmes.
Le remède, chez nous comme partout ailleurs, c'est la fin du cumul des mandats et l'élaboration d'un statut de l'élu équitable.
Nous avons besoin de réformer notre Etat. Budgétivore et immobile, confisqué par les corporatismes, les castes les corps ou les clans, il veut se « mêler de tout sans jamais rien démêler »
Réformons l'Etat pour le recentrer sur de grandes missions régaliennes incontestables et redéployons les fonctionnaires là où ils sont vraiment utiles au plus grand nombre.
Ce faisant nous retrouverons des espaces de liberté et d'initiative pour des collectivités territoriales ou locales pertinentes et légitimes (Régions et communautés d'agglomération ou de communes) et également donnons un signe fort aux hommes et aux femmes qui animent les belles réussites de l'économie sociale et solidaire, avec des fondements ou le solidaire et l'éthique, le disputent avec brio au soucis de la performance et de l'innovation.
Nous avons besoin effectivement d'un développement économique, mais il ne peut se faire sans donne sociale. A défaut nous resterons accrochés à nos petits égoïsmes.
Dans le même temps, nous appelons les Français à regarder la réalité en face : Les droits acquis sous leur forme actuelle ne peuvent perdurer. Notre économie nécessite des ajustements rapides sous peine de transférer à nos petits enfants une charge insupportable et un mode de vie dégradé.
La solidarité intergénérationnelle nous porte donc à donner ou abandonner ici, pour permettre demain au plus grand nombre de recevoir le plus équitablement possible là.
Voilà brièvement l'axe tracé et l'ambition de cet espace. Cela n'est certainement pas électoralement très porteur, mais c'est ce luxe que les citoyens doivent s'offrir.
Nous ne revendiquons rien, sauf le devoir d'apporter modestement notre pierre, car rien n'est joué, et nous comptons bien, dans les semaines qui viennent contraindre les postulants à la magistrature suprême à exprimer la vérité.
Convenez que c'est le moins que l'on puisse attendre si l'on souhaite présider un pays comme le nôtre!
Richard HASSELMANN
Libellés : 2007, avenir, dette, élection, présidentielle, votre
5 Comments:
commented by Anonyme, 28 février 2007 à 13:07
"Parlons enfin des droits acquis. Alors que tout passe ici bas... Il faudra bien qu'on en oublie sous peine de ne plus jamais avoir de droits..." Ce n'est pas de moi mais de Sardou dans une de ses dernières chansons ..
Vous avez raison de continuer ce combat contre les blocages actuels de la société française et du tout- Etat. IL faut instaurer le mandat unique et limiter le nombre de mandats successifs. Il faut réduire le nombre de fonctionnaires, en limitant le nombre des administrations et en simplifiant l'organisation territoriale comme vous le préconisez.
Il faut encourager et mieux aider ceux qui entreprennent et ceux qui veulent s'en sortir, privilégier la responsabilité individuelle et la responsabilité collective plutôt que l'assistanat. Il faut promouvoir l'égalité des chances plutôt que l'égalitarisme. Enfin, il faut avoir une vision pour la France, déclinée en grands projets pour être capables de susciter l'adhésion de nos concitoyens.
Mais, il faut aussi avoir le courage de ses opinions et s'engager concrètement sur le terrain, inlassablement pour convaincre les Français qu'il n'y a pas d'autre solution que le sursaut. Je pensais que 2007 pourrait être l'année de ce sursaut. Je commence à avoir des doutes mais 2007 sera peut-être le début d'un nouveau combat. Je suis prêt à m'y engager avec vous. Pour ma part, et à ma modeste place de candidat indépendant aux prochaines élections législatives, je continuerai en tout cas à relayer l'esprit d'Energies2007 et des ses valeurs.
A votre disposition.
Gérard JAULIN - http://gerardjaulin2007.blogspot.com
Vous avez raison de continuer ce combat contre les blocages actuels de la société française et du tout- Etat. IL faut instaurer le mandat unique et limiter le nombre de mandats successifs. Il faut réduire le nombre de fonctionnaires, en limitant le nombre des administrations et en simplifiant l'organisation territoriale comme vous le préconisez.
Il faut encourager et mieux aider ceux qui entreprennent et ceux qui veulent s'en sortir, privilégier la responsabilité individuelle et la responsabilité collective plutôt que l'assistanat. Il faut promouvoir l'égalité des chances plutôt que l'égalitarisme. Enfin, il faut avoir une vision pour la France, déclinée en grands projets pour être capables de susciter l'adhésion de nos concitoyens.
Mais, il faut aussi avoir le courage de ses opinions et s'engager concrètement sur le terrain, inlassablement pour convaincre les Français qu'il n'y a pas d'autre solution que le sursaut. Je pensais que 2007 pourrait être l'année de ce sursaut. Je commence à avoir des doutes mais 2007 sera peut-être le début d'un nouveau combat. Je suis prêt à m'y engager avec vous. Pour ma part, et à ma modeste place de candidat indépendant aux prochaines élections législatives, je continuerai en tout cas à relayer l'esprit d'Energies2007 et des ses valeurs.
A votre disposition.
Gérard JAULIN - http://gerardjaulin2007.blogspot.com
Vous évoquez dans votre texte l'économie sociale. Quelles sont vos pistes ?
commented by 2 mars 2007 à 12:20
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A REPUBLIQUE
Merci de votre commentaire qui me permet de faire un point sur la forme et le fonds.
sur la forme, mon billet est limité, par le vecteur "BLOG", il est évident que nous ne souhaitons pas le retour des DUCHES et COMTES, m^me si les français régicides culpabilisent d'avoir coupé la tête a leur Roi.Notre approche s'inscrit dans un contexte global avec un amont et un aval.
sur le fonds, nous considérons que la région est un espace de taille pertinente pour mettre en oeuvre le principe de subsidiarité cher a R BARRE.Nous avons analysé sur u n département "X" la superposition des organigramme ETAT/REGION/Cl-Gl.
Edifiant, doublons,financements croisés,formalisme varié, etc...
A l'heure de la traçabilité il est urgent que le citoyen sache qui fait quoi et ou se situent les responsabilités. Les économies d'echelles doivent permettre de redéployer une partie des emplois publics, sur des missions de contrôle "a priori'", pour s'assurer que les régles sont respectées. ces régles fixées par la loi, votée par le parlement qui représente le peuple donc l'ETAT.Cette entité garde toute sa place, qui demeure essentielle et garante de l'unité nationale.
Merci de votre commentaire qui me permet de faire un point sur la forme et le fonds.
sur la forme, mon billet est limité, par le vecteur "BLOG", il est évident que nous ne souhaitons pas le retour des DUCHES et COMTES, m^me si les français régicides culpabilisent d'avoir coupé la tête a leur Roi.Notre approche s'inscrit dans un contexte global avec un amont et un aval.
sur le fonds, nous considérons que la région est un espace de taille pertinente pour mettre en oeuvre le principe de subsidiarité cher a R BARRE.Nous avons analysé sur u n département "X" la superposition des organigramme ETAT/REGION/Cl-Gl.
Edifiant, doublons,financements croisés,formalisme varié, etc...
A l'heure de la traçabilité il est urgent que le citoyen sache qui fait quoi et ou se situent les responsabilités. Les économies d'echelles doivent permettre de redéployer une partie des emplois publics, sur des missions de contrôle "a priori'", pour s'assurer que les régles sont respectées. ces régles fixées par la loi, votée par le parlement qui représente le peuple donc l'ETAT.Cette entité garde toute sa place, qui demeure essentielle et garante de l'unité nationale.
commented by 3 mars 2007 à 00:03
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A Marc G
Merci de réagir, au coup de projecteur que je mets sur l’ECONOMIE SOCIALE et SOLIDAIRE.
En effet entre la sphère publique et le Privé, il existe une troisième voie, le TIERS SECTEUR, qui regroupe les secteurs associatifs, coopératifs et mutualistes notamment.
Depuis de longues années, nous sommes nombreux à penser que c’est à ce niveau que se situe les gisements d’emplois, les moyens et une « certaine idée du mariage entre l’homme et l’entreprise »
Ce secteur compte en ses rangs des opérateurs économiques de renom, qui se donnent les mêmes moyens humains et matériels que le secteur privé capitalistique, et…….les mêmes objectifs : Le résultat et la performance. La différence est ailleurs, ces entreprises sont des entreprises de SENS et AFFINITAIRES, qui dédient la performance à la qualité éthique et solidaire des produits et services proposés, et au respect de l’ECOLOGIE des collaborateurs qui y travaillent. C’est ce que nous appelons la forme « alternative de l’Entreprise », nous devons en faire une composante forte de notre développement économique, car le social et le solidaire sont sa culture.
A l’heure ou l’on parle de gouvernance, de pillage par le capitalisme anonyme, ou d’investissement socialement respo
Merci de réagir, au coup de projecteur que je mets sur l’ECONOMIE SOCIALE et SOLIDAIRE.
En effet entre la sphère publique et le Privé, il existe une troisième voie, le TIERS SECTEUR, qui regroupe les secteurs associatifs, coopératifs et mutualistes notamment.
Depuis de longues années, nous sommes nombreux à penser que c’est à ce niveau que se situe les gisements d’emplois, les moyens et une « certaine idée du mariage entre l’homme et l’entreprise »
Ce secteur compte en ses rangs des opérateurs économiques de renom, qui se donnent les mêmes moyens humains et matériels que le secteur privé capitalistique, et…….les mêmes objectifs : Le résultat et la performance. La différence est ailleurs, ces entreprises sont des entreprises de SENS et AFFINITAIRES, qui dédient la performance à la qualité éthique et solidaire des produits et services proposés, et au respect de l’ECOLOGIE des collaborateurs qui y travaillent. C’est ce que nous appelons la forme « alternative de l’Entreprise », nous devons en faire une composante forte de notre développement économique, car le social et le solidaire sont sa culture.
A l’heure ou l’on parle de gouvernance, de pillage par le capitalisme anonyme, ou d’investissement socialement respo
commented by 4 mars 2007 à 18:00
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Vous souhaitez que l'état se réduise aux simples fonctions régaliennes. Mais, dans ce cas, a quoi bon avoir un état ?
Je crois poindre dans votre discours un retour à notre belle France des duchés ou comtés.
Détrompez moi